Recueil n° 1 – 2012 7
Précisons que ces textes sont extraits du recueil de SOUNYA PLANES intitulé :
AINSI CE MONDE DEVIENT
CÉLESTE
, édité par l’artiste.
Le mouvement dans l’Art. Voilà un terrain dont il est extrêmement risqué de s’engager ! Car parler du
« mouvement », c’est parler de l’Art dans ce qui constitue le noyau de sa dynamique. Le mouvement est dans
tout. Même dans le statique car il faut l’amorcer d’abord pour le figer ensuite. Le mouvement est perpétuel. Il ne
s’arrête jamais, en ce sens qu’il se poursuit dans l’imaginaire du visiteur. Si la beauté est, comme dit l’axiome,
dans l’œil de celui qui la regarde par la perception qu’il en a, le mouvement, lui, s’inscrit dans la nécessité
intrinsèque que constitue l’humain à le « dépasser », à le « prolonger » dans une « immortalité » toute humaine,
et lui assurer d’infinis possibles.
François L. Speranza.
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